jeudi 4 septembre 2008

Cani-Wap! http://cani-wap.chez-alice.fr/

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Bienvenue sur Cani-Wap!

Ce site est destiné à tous les propriétaires de chiens, à ceux qui souhaitent le devenir et à tous ceux qui aiment les chiens

Entièrement consacré aux chiens, il est destiné à mieux vous faire comprendre, et ainsi prévenir, les problèmes de votre animal.

Vous trouverez :
Des dossiers complets sur les principales maladies, des conseils homéopathiques pour attendre le vétérinaire ou pour des situations simples, des fiches pour prévenir petits et gros bobos au quotidien.
Vous ne trouverez pas :
De traitement, seul un vétérinaire peut apporter un diagnostic après avoir examiné le chien et ainsi prescrire un traitement adapté et personnalisé.
Ce site ne peut pas vous permettre d'apporter un diagnostic.

LA FONCTION REPRODUCTRICE CHEZ LA CHIENNE

Certaines notions sont importantes à connaître afin de mieux pouvoir aider nos compagnons à quatre pattes à vivre des moments importants de leur vie. La puberté, l'accouplement, la gestation et la naissance en font partie.

LE CHIEN :

En général, la puberté survient entre 6 mois, pour les petites races, et 18 mois pour les races géantes. Cela correspond à la production des premiers spermatozoïdes.
Suit ensuite la période la plus propice à la reproduction.
Puis, la fertilité décroît progressivement avec l'âge, et cela dès 7 ans chez les races géantes, un peu plus tardivement chez les races moyennes et petites.

LA CHIENNE :

La puberté apparaît, comme pour les mâles, entre 6 mois et 18 mois suivant la race. Elle correspond à l'aptitude à ovuler et se manifeste par les premières chaleurs. Celles-ci sont, en général, très discrètes, et les maîtres ne s'en aperçoivent pas. Le fait d'être pubère, pour la femelle, ne signifie pourtant pas que celle-ci soit apte à mener à terme une gestation et une mise bas. Il est préférable de laisser passer les premières chaleurs de la chienne avant d'envisager un accouplement, afin d'être sûr du complet développement du bassin et de l'appareil reproducteur.
Il n'y a généralement pas de ménopause, toutefois, chez les chiennes âgées (plus de 10 ans), les chaleurs peuvent s'espacer.

LA FONCTION REPRODUCTRICE CHEZ LE CHIEN:

La fonction sexuelle est essentiellement conditionné par la perception des phéromones (molécules odorantes) émises par les chiennes lors des chaleurs. Durant cette période le mâle peut perdre l'appétit, fuguer, voire se frotter sur les jambes de son maître ou de sa maîtresse, ou même être agressif.

Pendant cette période, il est possible de neutraliser l'activité sexuelle par des traitements hormonaux ou des tranquillisants. Mais, attention aux effets secondaires ! Votre vétérinaire vous conseillera.

La contraception :

  • Pour une neutralisation définitive de l'activité sexuelle des mâles, il faut envisager une castration chirurgicale (ablation des testicules). Celle-ci rend le chien stérile, et si la castration est faite avant l'âge de 1 ou 2 ans (suivant la race), les manifestations comportementales disparaissent.
  • En dehors de la castration, on peut pratiquer une vasectomie (ligature des canaux déférents), qui rendra le chien infertile mais libre d'exprimer sa sexualité (manifestations comportementales).

Les traits de caractères propres à chaque animal ne sont pas modifiées par la castration, par contre, on constate souvent une diminution de l'agressivité chez certains mâles.

LA FONCTION REPRODUCTRICE CHEZ LA CHIENNE :

Le cycle sexuel :

A partir de la puberté, le cycle, chez la chienne, se fait sur un rythme biannuel (au printemps et à l'automne). Il n'y a qu'un seul cycle par saison, il se manifeste par les "chaleurs".

1 - Les "chaleurs" :

Leur durée est d'environ 3 semaines avec :

  • une première période appelée "pro œstrus", d'une durée de 7 à 11 jours, mais parfois jusqu'à 20 jours. Durant cette période, la vulve est oedémateuse, avec des écoulements sanguinolents. Bien qu'attirant les mâles, la chienne refuse l'accouplement en s'éloignant, en s'asseyant, voire même en manifestant une certaine agressivité.
  • une deuxième période appelée "oestrus", d'une durée moyenne de 8 à 10 jours mais pouvant varier entre 3 et 20 jours. Les pertes vulvaires deviennent plus claires, moins sanguinolentes. La vulve devient moins œdémateuse et se décongestionne. C'est le temps de l'ovulation qui se produit, en général, vers le 2ème ou 3ème jour de l'oestrus, la chienne est alors fécondable pour une durée de 12 à 72 heures.
    Cette période est celle où la chienne attire le mâle et l'accepte pour s'accoupler avec apparition du réflexe de posture (la femelle, immobile, soulève sa queue, en la déviant sur le côté).

2 - Diœstrus :

Il débute le premier jour où la femelle refuse le mâle. Le dioestrus dure généralement 60 jours. La vulve n'est pratiquement plus œdémateuse et présente très peu, ou pas, d'écoulement.

3 - Anoestrus :

L'anoestrus est une période d'inactivité ovarienne. La vulve est petite. l'anoestrus a une durée de 4 mois environ (variations possibles entre 1 et 7 mois).

Le suivi des "chaleurs" :

Il s'agit, pour le maître ou la maîtresse, d'apprendre à mieux connaître sa chienne (les modifications de son humeur, la durée de son cycle et ses caractéristiques ...).

  • Tout d'abord, il faut situer le début des "chaleurs" en repérant le premier jour de l'écoulement vulvaire sanguinolent.
  • Puis, essayer de déterminer, de façon plus précise, le jour de l'ovulation (en vue d'un possible accouplement). Celle-ci a lieu, en général, entre le 10ème et le 14ème jour des chaleurs.
    l'éclaircissement des écoulements vulvaires et le réflexe de posture peuvent aider, aussi, à la détermination de la date de l'ovulation.

Tous ces faits sont à noter sur le carnet de santé de votre chienne, afin de vous permettre de savoir si celle-ci a des cycles réguliers. Cela pourra, aussi, renseigner le vétérinaire si besoin est.

La contraception :

  • Elle peut être temporaire, grâce à l'action d'un traitement hormonal. C'est l'utilisation de progestatifs, sous forme orale ou injectable, qui arrête momentanément le cycle sexuel. A l'arrêt du traitement, la fertilité redevient normale. Si celui-ci a été entrepris avant la puberté, la chienne peut rester stérile.
    Cette méthode contraceptive est très précieuse si l'on désire attendre avant que la chienne ait ses premiers chiots. Mais attention , il peut y avoir des effets secondaires avec ce type de traitement. Demandez conseil à votre vétérinaire.
  • Elle peut être définitive : c'est la contraception chirurgicale ou stérilisation. Celle-ci consiste en l'ablation des ovaires et de l'utérus. Tout risque de chaleurs, de gestation ou d'infection utérine est ainsi supprimé.
    La ligature des trompes existe aussi mais elle est peu utilisée.
    Pour certains vétérinaires, ce type de contraception doit être pratiqué avant les premières chaleurs, pour d'autres praticiens, il est préférable que la chienne ait eu une fois ses "chaleurs". Votre vétérinaire sera d'un excellent conseil en la matière.

Il est à noter que la stérilisation, quelque soit son mode, n'entraîne pas d'agressivité ou de modifications du caractère chez la chienne.

L'ACCOUPLEMENT :

L'accouplement se fait pendant l'oestrus. Le chien doit être présenté à la femelle au moment de l'ovulation présumée, donc vers le 10 - 12ème jour après les premières pertes sanguines. Pour favoriser les chances de fécondation, il est souhaitable de les faire accoupler au moins deux fois à 48 heures d'intervalle.

Pendant l'accouplement, qui dure environ 1/2 heure, le chien et la chienne restent accolés l'un à l'autre. Il ne faut surtout pas chercher à les séparer, cela pourrait engendrer des blessures.

Les jours précédant l'accouplement, il est conseillé de procéder au nettoyage des parties génitales du mâle et de la femelle. Pour la femelle une vermifugation est souhaitable. Renseignez-vous auprès de votre vétérinaire.

mardi 2 septembre 2008

LES RECHERCHES SUR LA VITAMINE C

Linus PAULING
1901-1994



Les vitamines sont des substances organiques, qui sont présentes en quantités infimes dans l'alimentation d'origine naturelle. Elles sont nécessaires à notre croissance et à notre santé. Certaines d'entre elles contribuent aussi à la production de globules du sang, d'hormones et de substances chimiques pour le système nerveux.
Les vitamines sont des nutriments, au même titre que les protéines, les glucides, les graisses, les minéraux et l'eau. Tous ces nutriments sont nécessaires à la production d'énergie, à la croissance cellulaire, au fonctionnement des organes. Ils sont apportés à l'organisme par la nourriture et utilisés au terme du processus de digestion.
Pour de nombreux médecins et chercheurs, les nutriments, c'est à dire les éléments de base qui composent la nourriture, interviennent à tout instant dans les millions de réactions chimiques de chacune de nos cellules. Lorsque ces nutriments sont absents ou en quantité trop faible, c'est à dire lorsqu'il y a carence, l'organisme s'affaiblit et résiste moins bien à la maladie. Par exemple, c'est une carence en vitamine C et en vitamine P qui est à l'origine du scorbut.
Le principe de la médecine orthomoléculaire, c'est de faire en sorte que le corps reçoive, soit par la nourriture, soit par des suppléments les substances nécessaires à un fonctionnement optimal. Ainsi est-il en mesure de prévenir l'apparition de maladies graves ou moins graves et de se défendre, en association ou non avec d'autres thérapeutiques.

LINUS PAULING
DEUX "PRIX NOBEL" ET LA VITAMINE C
Orthomoléculaire vient du grec "orthon", qui signifie droit, juste. Pourquoi "juste"? Tout simplement parce-que l'idée de base est que certaines substances doivent être apportées à l'organisme dans de justes proportions pour qu'il puisse prévenir et combattre la maladie.
La médecine orthomoléculaire est indissociable des travaux du docteur américain Linus Pauling. Pauling, pourtant, n'est pas médecin, mais biochimiste, l'un des plus renommés de ce siècle. Il a reçu en 1954 le Prix Nobel de Chimie pour ses travaux sur l'ADN (il fut le premier à découvrir que l'ADN "acide désoxyribonucléique" contenait notre matériel génétique) et en 1962 un autre Prix Nobel, celui de la Paix pour avoir dénoncé l'effet sur l'homme des essais nucléaires dans l'atmosphère et obtenu leur arrêt. Dès 1930, Pauling s'est intéressé aux molécules biologiques. À partir du milieu des années 60, il a étudié le rôle physiologique des micronutriments, en particulier celui de la vitamine C.

En réalité, tous ceux qui se sont un jour "convertis aux vitamines" connaissent les effets d'une supplémentation intelligente et adéquate. Ils ont pu constater d'eux-mêmes l'amélioration de leur état physique et psychique, leur plus grande résistance aux infections, la régression ou la disparition totale d'affections qui résistaient à des traitements médicamenteux (dépression, allergies, asthme, hypertrophie de la prostate, etc...).
Grâce aux suppléments d'acides aminés, des millions d'Américains ont réduit leur consommation de tranquillisants et de médicaments en général. Les Américains consomment aujourd'hui (par habitant) deux fois moins de médicaments que les Français, et ils ne s'en portent pas plus mal, merci.


LES RECHERCHES SUR LA VITAMINE C
Une grande partie de ce que nous savons aujourd'hui sur la vitamine C, est la résultante des différents travaux menés par Linus Pauling, chimiste de formation, né en 1901 et décédé à l'âge de 93 ans.
C'est à l'âge de 53 ans qu'il s'intéresse à la vitamine C et il y consacrera le reste de sa vie, soit près de 40 ans. Pour ceux qui n'ont jamais entendu parler de cet homme ou de ses travaux, sachez encore que Linus Pauling n'est pas n'importe qui. C'est un homme qui a dans sa vie été par deux fois élu Prix Nobel. Le premier titre, c'est en 1954, où il reçoit le Prix Nobel de Chimie. Le second, ce sera le Prix Nobel de la Paix en 1962.
En 1969, il va créer en Californie, un Institut qui porte son nom et qui sera consacré à la recherche sur la vitamine C et sur la nutrithérapie. Pauling va tout au long de sa vie se battre pour faire connaître et reconnaître les travaux qui prouvent les bienfaits de la prise régulière de vitamine C. Bien entendu, la plupart de ces études se verront controversées et certains chercheurs iront même jusqu'à "falsifier" certains résultats pour prouver l'irréalité des travaux de Pauling.
Aujourd'hui Linus Pauling est mort, mais son Institut de recherches continue de fonctionner et nombreux sont les scientifiques et médecins qui continuent de valider les découvertes effectuées par Pauling... seulement voilà... lorsque l'on prend conscience de l'importance des bienfaits de la vitamine C, l'on peut comprendre pourquoi l'industrie pharmaceutique fait tout ce qu'elle peut pour en minimiser les effets, voire même organiser une véritable désinformation. Les intérêts de l'industrie pharmaceutique sont prioritaires sur la santé des gens... et il est préférable de commercialiser des molécules chimiques plutôt que de promotionner un produit naturel qui lui n'est pas brevetable!!




LA VITAMINE C

Laure POULIQUEN

Bien qu’elles soient toutes indispensables, la plus importante des vitamines est la vitamine C dont le rôle physiologique est le plus étendu, dont la carence totale provoque la mort certaine et rapide par scorbut et dont la carence partielle semble être responsable ou favorisante d’un plus grand nombre d’affections diverses.

Est-il compréhensible et logique que des produits naturels bien connus et bien étudiés dont l'efficacité est reconnue depuis longtemps soient aujourd’hui presque oubliés !
Actuellement la polarité de la vitamine C est telle qu’une partie de la population de nos pays occidentaux connaît ce nom, ne serait-ce qu’en raison de son utilisation publicitaire. Certains de nos contemporains seront peut-être curieux de son origine, de son histoire, de sa nature et de ses vertus. Mais la grande majorité posera, avant tout autre et avec bon sens, la question suivante :

À QUOI SERT-ELLE ?
Question obligeant à une réponse fondamentale :

ELLE SERT À VIVRE, TOUT SIMPLEMENT… SANS VITAMINE C, C’EST LA MORT !!
Il ne s’agit pas d’un produit de confort ni d’un gadget. Le scorbut, maladie due à la carence complète en vitamine C est une des plus douloureuses façons de mourir qu’un être humain puisse subir après trois mois de déchéance progressive.
L’essentiel des données principales sur la vitamine C ou acide ascorbique tient dans des notions simples qui pèsent réellement sur notre existence sans que nous en ayons conscience à tout moment :
Les ancêtres des primates ont perdu, il y a plusieurs millions d’années, à la suite d’une mutation, la possibilité de synthétiser la vitamine C. L’homme et les singes sont donc entièrement dépendants pour leur survie de sources alimentaires appropriées.
Tandis que l’homme est resté au contact de son milieu naturel, il n’a jamais eu à souffrir globalement d’un manque de vitamine C, toujours suffisamment présente dans les denrées alimentaires courantes. Les carences ne se manifestaient que dans des conditions de nutrition très anormales comme celles des prisonniers, ces marins au long cours, des habitants des villes assiégées, des grands vieillards isolés, etc.
Depuis 50 ans environ l’homme occidental s’est éloigné de son biotope naturel beaucoup plus et beaucoup plus vite que durant les siècles précédents. Il vit maintenant en trop grand nombre dans des cités de plus en plus importantes. Il a adopté de nouvelles habitudes alimentaires imposées par cette urbanisation galopante. La commodité, le gain de temps et la mode ont occulté les vrais problèmes nutritionnels.
L’alimentation est désormais produite par une industrie agro-alimentaire moderne, beaucoup plus soumise aux règles du marché concurrentiel qu’à des impératifs de nutrition rationnelle. Notre alimentation industrielle est très appauvrie ou complètement dépourvue de vitamine C. Cette situation à la production est encore aggravée par la distribution et par certains modes de préparation ou de conservation des aliments.
Nos organismes sont de plus en plus souvent pollués par des « flingueurs » de vitamines : alcool, tabac, drogues, pesticides, médicaments, additifs alimentaires, radiations, polluants de l’atmosphère et des eaux, etc.
Leur nombre et leur agressivité ont un rapport évident avec la vie concentrationnaire urbaine, avec les progrès de l’industrie en général, avec les avancées technologiques du secteur agro-alimentaire ou de certains traitements médicaux ou chirurgicaux modernes.
Diverses raisons, dont la quasi-instantanéité des informations, leur dramatisation systématique par des médias à l’impact audiovisuel délibérément percutant, ainsi que les rythmes de la vie moderne, ont multiplié les facteurs de stress chronique avec poussées aiguës, ce qui augmente notablement les besoins en vitamine C. Les humains sont devenus en même temps moins résistants aux effets de ce stress par HYPOVITAMINOSE générale.
C’est un cercle vicieux : le stress génère la carence qui facilite le stress.
Nous savons maintenant que toute maladie et en particulier toute infection se traduit aussi par une augmentation des besoins en vitamine C, de sorte qu’une banale grippe peut facilement entraîner, selon l’état des réserves du sujet, une subcarence ou une carence vraie. Ces deux facteurs, maladie et stress, peuvent dont être ajoutés à la longue liste des ennemis de la vitamine C. Le mécanisme de leur action n’est pas le même pour tous mais le résultat final est identique.
La vitamine C n’est pas un gadget. Elle est aussi, en sus de sa fonction vitaminique, un produit de premier plan utilisable dans la lutte contre les infections, le cancer, l’arthrose, les allergies, les pathologies cardio-vasculaires, le stress, etc.
Ce rôle est nettement moins connu que l’activité strictement vitaminique. Il est à noter que la vitamine C est également un puissant stimulant cérébral, elle lutte aussi efficacement contre l’hypoglycémie. Enfin le rôle fondamental de l’oxygène est inséparable de celui de la vitamine C. Son utilisation est actuellement le meilleur moyen complémentaire pour en optimiser la bio-disponibilité.
Concernant les fumeurs, il faut savoir que chaque cigarette consomme 25 mg de vitamine C, soit environ 200 mg par paquet, ces derniers doivent absolument augmenter leur prise de vitamine C.
Les bienfaits de la vitamine C sont trop souvent méconnus, vous seriez surpris d’apprendre par exemple que la vitamine C « pure » n’empêche pas de dormir mais au contraire facilite le sommeil.
Nous risquons la panne de vitamine C lorsque nous n’absorbons pas chaque jour la quantité de vitamine C qui nous est nécessaire et qui varie suivant nos besoins (toujours la notion de B.I.O. "Besoin Individuel Optimisé"), suivant notre mode de vie, notre programmation génétique, le degré de pollution que nous côtoyons, l’état de notre système immunitaire, la qualité de notre alimentation, l’importance du stress, l’ingestion des métaux toxiques (mercure dans les amalgames dentaires... très nocif), etc.
Lorsqu’une carence en vitamine C s’installe progressivement, un vieillissement prématuré des tissus apparaît ainsi qu’une baisse de nos défenses immunitaires et une diminution de nos moyens physiques et de notre potentiel intellectuel, car la vitamine C participe activement à tous les échanges biologiques de notre corps et permet à notre métabolisme d’utiliser les autres vitamines et les autres oligo-éléments nécessaires au maintien de notre bonne santé. La vitamine C est un aliment quotidien aussi essentiel pour notre corps que l’air que nous respirons et l’eau que nous buvons. Lorsque l’eau et l’air que nous consommons sont pollués, notre organisme a besoin de quantités plus importantes de vitamine C afin de lutter contre les toxiques qui empoisonnent notre organisme.
Une insuffisance régulière de vitamine C dans nos aliments est responsable d’une altération de nos défenses immunitaires, c’est-à-dire de nos protections physiologiques contre les infections et les tumeurs. Une subcarence régulière favorise aussi l’apparition des maladies chroniques, généralement considérées comme simplement dues à l’âge, rétrécissements artériels, hypercholestérolémies, arthroses, fatigues chronique, infections répétitives en particulier respiratoires, allergies, intoxications chroniques, stress, douleurs, crampes, constipation, goutte, anémie et insomnie, etc.
Le stress et tout ce qui a pour nous un retentissement désagréable, voire douloureux, sont aussi des destructeurs ou des surconsommateurs de nos réserves de vitamine C, la liste qui suit n’est pas exhaustive :

Contrariétés, inquiétudes, soucis, deuils, problèmes professionnels, familiaux ou sentimentaux, chaleur excessive, froid trop vif, changement d’emploi, problèmes financiers, douleurs physiques même modérées par petits traumatismes, interventions chirurgicales et traitement médicaux de toutes sortes...
De nombreux médicaments sont destructeurs de la vitamine C comme les antalgiques, les antidépresseurs, les anti-inflammatoires, les produits de la chimiothérapie anticancéreuse... bref tous les médicaments « Anti ».
Les irradiations subies à l’occasion d’examens radiologiques ou de traitements radiothérapiques font aussi partie de la liste des chélateurs de vitamine C.
Pour conclure, je voudrais préciser qu’il n’existe aucune manifestation toxique quelconque, immédiate ou secondaire, qui puisse être imputée à l’administration de vitamine C et ce même à des doses importantes. Il n’y a donc aucune possibilité d’hypervitaminose, l’acide ascorbique n’a aucune toxicité, ni aiguë, ni chronique, ni aucun effet tératogène sur le fœtus chez la femme enceinte, c’est-à-dire aucun risque d’entraîner des malformations congénitales.


Laure Pouliquen
Naturothérapeute-Nutritionniste
Nutrithérapie Orthomoléculaire
http://www.innovationsante.com



Sources biographiques :
Dr. Christian Tal Schaller, « Institut de Santé Globale » - Taulignan "Notre Ange-Gardien, la Vitamine C" du Docteur Pierre Corson "Documentation de Wolesale Nutrition"



LA VITAMINE C

Contrairement à son "appellation" qui n'est nullement contrôlée, la "vitamine C" n'est pas une vitamine. Elle n'en a ni la formule chimique, ni les propriétés très particulières.
La vitamine C est un aliment essentiel à la vie et à la santé, à ranger à côté des protéines ou des lipides nobles.
Contrairement aux posologies couramment indiquées sur les boites ou conseillées par les pharmaciens ou les médecins, il faut en prendre de grosses quantités: de quatre à dix, quinze, vingt grammes par jour ou même plus selon les problèmes que l'on rencontre. Il n'est pas possible de déceler le moindre effet pervers à quatre kilos par jour (soit l'équivalent de 8000 comprimés de 500mg).
Docteur Alain SCOHY


CE QUE LA "VITAMINE C" PEUT FAIRE POUR VOUS
La vitamine C intervient dans quasiment toutes les fonctions de l'organisme. Elle est aussi importante que le ciment sur un chantier.
Elle intervient sur le système nerveux et dans bien des cas, une baisse de l'attention et des difficultés de concentration et de mémorisation sont souvent en rapport avec un manque de vitamine C. Dès que notre corps est soumis au stress, les besoins en vitamines C sont doublés. Les premiers signes d'une carence en vitamine C sont la confusion et la dépression.
La vitamine C permet d'accroître la cognition, comme on a pu le constater chez les enfants normaux et trisomiques qui ont obtenu des résultats plus élevés dans des tests d'aptitude intellectuelle.
Contrairement à ce que les gens pensent, la vitamine C n'empêche pas de dormir, puisque dans bien des cas, elle est même proposée à haute dose pour traiter les problèmes d'insomnie. 3 à 4 grammes de vitamine C au moment du coucher (quelquefois plus, suivant les cas) et vous pourrez retrouver très rapidement un sommeil bien équilibré.
Si l'on supplémente rapidement en vitamine C une personne qui représente les symptômes d'un début de dépression, dans bien des cas, cette personne se rétablit très rapidement, sans être obligée de prendre (même temporairement) des antidépresseurs ou des anxiolytiques.
Les réserves de vitamine C sont vite épuisées en cas de maladies, infections, ou choc traumatique. Différents travaux ont pu démontrer que des concentrations élevées en vitamine C permettaient une meilleure mobilisation des globules blancs et des neutrophiles leur permettant ainsi de s'attaquer beaucoup plus facilement aux bactéries. La vitamine C doit donc être largement utilisée dans toutes les infections, qu'elles soient dues à des bactéries, des virus, des champignons, des levures ou des parasites. (médecines nouvelles n° 95 - 4ème trim. 99)
Le Dr. Jariwalla, de Palo Alto (Californie), a mis en évidence l'activité anti-HIV de la vitamine C, qui inhibe in vitro la réplication des différentes souches de ce virus. (médecines nouvelles n° 95 - 4ème trim. 99)
Pourquoi la découverte du Dr. Jariwalla a-t-elle été si discrètement annoncée?? Pourtant, elle vient de confirmer ce que le Dr. Cathcard avait, dès 1984, mis en évidence très clairement: "les sidéens sont très améliorés cliniquement et biologiquement par la vitamine C". Bien évidemment, la vitamine C sera donc utile dans toutes ces maladies comme la grippe, le coryza, l'hépatite, la mononucléose infectieuse et l'herpès.
La vitamine C atténue les conséquences des effets secondaires de la chimiothérapie et de la radiothérapie, tout en participant elle-même à la destruction des cellules malignes et en empêchant leur multiplication.
(médecines nouvelles n°95 - 4ème trim. 99)
La vitamine C réduit les réactions allergiques en diminuant le taux d'histamine qui est sécrétée par le corps lors d'une réaction de type allergique. Elle devrait donc être systématiquement donnée dans les cas de rhume des foins, asthme, etc...
Lors d'une intervention chirurgicale, le taux de vitamine C tissulaire s'effondre littéralement. Ceci est très certainement dû à l'action conjuguée des différentes drogues utilisées pendant l'anesthésie, ainsi que le stress, la douleur et les médicaments postopératoires.
(médecines nouvelles n°95 - 4ème trim. 99)
Comme la vitamine C intervient dans le métabolisme du collagène, et par conséquent dans le processus de cicatrisation, il semble important de supplémenter les futurs opérés en vitamine C, à raison de 3 à 5 g/jour. Le collagène est un ensemble de protéines qui forment le tissu conjonctif sur lequel se déposent les minéraux et en particulier le calcium; ce qui va former les os, les dents, les cartilages... Lorsque vous manquez de vitamine C votre corps fabrique moins de collagène et le collagène qu'il fabrique manque de solidité.
La vitamine C réduit la nocivité des métaux lourds comme le plomb, le nickel, le cadmium.
La vitamine C a également un pouvoir antalgique (qui atténue la douleur) lorsqu'elle est utilisée à haut dosage. (à partir de 15 à 20 grammes par jour et plus).
Il a été constaté que la prise de vitamine C à raison de 8 g/jour pendant 8 jours seulement amène une réduction de 30% de l'acide urique sanguin. Elle peut donc être utilisée efficacement et sans arrière pensée dans la prévention et le traitement de la goutte.
( médecines nouvelles n°95 - 4ème trim. 99 )
La prise régulière de 3 à 4 g/jour de vitamine C peut facilement aider les personnes constipées à réguler leurs selles. La vitamine C produit donc un effet laxatif, doux et constant.
Une carence en vitamine C entraîne une mauvaise utilisation de la vitamine B9 qui devient elle même responsable des anémies.
La vitamine C est un des éléments indispensables à la coagulation du sang. Il sera donc utile de prendre de la vitamine C dans tous les syndromes hémorragiques. La vitamine C en association avec des bioflavonoïdes est efficace et sans risque dans le traitement des varices, des ulcères variqueux et des hémorroïdes.
Plus le taux de vitamine C dans le sang est bas, plus la tension est élevée. Inversement, plus le taux de vitamine C est élevé, plus la tension artérielle se rapproche du niveau optimal. Il est donc facile d'en conclure que la vitamine C a une action très bénéfique sur les problèmes de l'hypertension artérielle.
La vitamine C a également une influence bénéfique sur le profil de cholestérol dans le sang. La vitamine C joue un rôle régulateur dans le métabolisme des lipides. Une administration au long cours à doses suffisantes (entre 3 et 5 g/jour) contribue à réguler les problèmes d'hypercholestérolémie et de triglycérides du sang.
D'après l'étude NHANES III portant sur 13000 sujets, il existe une relation directe entre le faible taux de vitamine C dans le sang et le risque de lithiase biliaire. Ce risque a spécifiquement été constaté chez la femme.
( Quotidien du médecin, N° 6684 du 10 avril 2000 )
Il parait donc tout à fait indiqué, là encore, de consommer régulièrement de la vitamine C ce qui peut prévenir la formation de calculs biliaires.
Il n'est pas nécessaire de comprendre la biochimie de la vitamine C pour savoir qu'elle est essentielle à la fonction cérébrale. Plusieurs études ont montré une amélioration de l'EEG et de l'attention. Enfin, dans une série d'études remarquables, Hoffer et Osmond ont montré l'efficacité de la vitamine C pour traiter la schizophrénie. La recherche a également montré que la vitamine C améliorait l'état des patients atteints de dépression et de psychose maniaco-dépressive qui, comme cela a été mentionné dans "Infantile Autism", semblent être liés à l'autisme sur le plan génétique.


QUELQUES RECOMMANDATIONS !

LA VITAMINE C N'A AUCUN EFFET NOCIF !

Contrairement à certains bruits que certains font courir volontairement, la vitamine C n'a aucun effet nocif. Elle est testée depuis plus de 40 ans. Aucun effet nocif n'a été constaté sur des prises de près de 4 kgs par jour, soit l'équivalent de 8000 comprimés de 500 mg.
Écoutons le Dr.Cathcart lui-même :
"En 1974, lorsque ma fille Helen, alors adolescente, a été hospitalisée, car elle souffrait de la maladie de Hodgskin en phase "terminale" (stade 4B), j'ai décidé de lui faire prendre 40 grammes de vitamine C par jour (526 mg/lb). Ses médecins étaient atterrés : "Vous allez la tuer!" "Pas du tout", leur ai-je répliqué. Elle a rapidement guéri et, elle est aujourd'hui, 24 ans plus tard, en excellente santé."

LA VITAMINE C N'EMPÊCHE PAS DE DORMIR !
En cas de prise importante (plus de 10 grammes/jour) elle peut même vous rendre somnolent ce qui s'explique par le fait que la vitamine C vous fait quitter un état de stress (sympathicotonie) pour vous permettre de passer en vagotonie (zone qui permet le repos mais et surtout la RÉPARATION de votre organisme).

LA VITAMINE C NE VOUS ÉNERVE PAS !
La vitamine C a tendance à apaiser. Si vous ressentez un quelconque état d'énervement... c'est tout simplement que votre prise de vitamine C n'est pas assez importante par rapport aux besoins du moment. Si vous prenez 4 ou 5 grammes par jour, surtout ne diminuez pas, mais au contraire, doublez ou triplez votre prise de vitamine C sur une dizaine de jours et vous verrez que très rapidement tout rentrera dans l'ordre.

SI VOUS RESSENTEZ DES GAZ ET DES BALLONNEMENTS !!
Une fois encore, cela peut se produire durant quelques jours si votre dosage en vitamine C est inférieur aux besoins de votre organisme. Dès que vous prenez de la vitamine C, votre corps passe automatiquement en mode de réparation et il peut ouvrir en même temps "plusieurs chantiers de réparation" de votre organisme. Dans la phase de réparation, votre organisme peut avoir besoin de très grosses doses de vitamine C. N'hésitez donc pas à augmenter la dose durant quelques jours et vous verrez disparaître les gaz et les ballonnements.

LA VITAMINE C EST ÉLIMINÉE PAR LES URINES !
... ce qui sous entend que la vitamine C ne serait pas stockée dans l'organisme. C'EST FAUX ! Lorsque le taux plasmatique est saturé en vitamine C, 60 % est effectivement éliminé par les urines... mais les 40 % qui restent sont stockés au niveau des glandes surrénales (stress), au niveau des globules blancs (immunité). Dans les urines on retrouve surtout sa forme oxydée, c'est à dire les molécules qui, à l'occasion de leur passage au coeur des cellules de l'organisme, ont rempli leur principale mission qui est l'élimination des fameux radicaux libres (les cendres qui résultent des combustions habituelles à la base de la vie)...

CHOISIR LA VITAMINE C LA PLUS NATURELLE POSSIBLE !
Plus la vitamine C est d'origine naturelle et meilleure est son assimilation. Il n'est pas grave de consommer de la vitamine C chimique, mais dans ce cas, il faut doubler les dosages proposés ci-après, car l'assimilation par l'organisme est bien limité. Par contre, fuyez comme la peste toutes les vitamines C synthétiques présentées sous forme de comprimés ou poudres effervescentes. La vitamine C que nous vous recommandons est celle fabriquée par le laboratoire OLINAT ORTHO-NAT qui est le seul actuellement à présenter de l'ACEROLA 700mg en comprimés à croquer.
SI VOUS RESSENTEZ DE L'ACIDITÉ GASTRIQUE...
les extraits d'ACEROLA sont de véritables concentrés de fruits. Ces concentrés sont déshydratés et il faut donc penser à boire suffisamment. 1 litre et demi d'eau plate par jour. Si vous ne buvez pas suffisamment, vous pouvez parfois ressentir des éructations et des aigreurs d'estomac... Si c'est le cas, augmentez votre ration d'eau plate et maintenez la vitamine C. Consultez éventuellement votre thérapeute.

QUEL DOSAGE UTILISER
Quelques conseils d'utilisation préconisés par le Docteur SCOHY:
La dose moyenne varie selon la finalité que l'on se donne...
Mais il vaudra toujours mieux commencer par une forte dose, (six à dix grammes par jour) pour imprégner convenablement l'organisme, (sur 1 mois) puis revenir progressivement à la dose utile!

1. Minimum vital
il est de 1 gramme/jour chez le nouveau-né au biberon, il va jusqu'à 2 à 3 grammes/jour chez l'adulte. Une femme enceinte ou qui allaite doit en consommer 7 à 8 grammes/jour au moins.

2. Dose moyenne pour la santé
et pour éviter le vieillissement intempestif:
4 à 6 grammes/jour. ATTENTION, à ces doses là, la diminution de la tension nerveuse est telle qu'il y a risque de somnolence pendant la journée, surtout au volant. Évitez donc d'en prendre avant de conduire, prenez là plutôt dans la soirée, et lorsque vous vous sentez tendu. (Surtout dans les premiers jours du traitement!).

3. Dose thérapeutique
selon la gravité de la pathologie, il faudra prendre entre 20 et 120 grammes/jour. À ces doses là, il est souvent utile de recourir aux formes "poudre" et à la voie rectale (lavements): la vitamine C se dilue très vite dans peu d'eau, et elle passe plus vite dans le sang à partir d'un petit lavement que par voie intraveineuse.



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